Dans un article paru dans Le Temps, Pierre Bessard relève que les espoirs placés dans le Brexit, du point de vue du libre-échange mondial et de la concurrence entre les institutions, n’ont pas été satisfaits jusqu’ici. Il y a de bonnes raisons de considérer le processus de centralisation politique au niveau européen avec scepticisme, mais l’UE sert aussi de bouc émissaire pour de mauvaises politiques publiques nationales.
Le Royaume-Uni, en dépit d’une rhétorique favorable aux marchés, reste encore trop prisonnier de l’étatisme ambiant pour articuler une stratégie gagnante face à la décision controversée d’une petite majorité de votants, il y a trois ans, de sortir de l’UE.
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Le potentiel inexploité du Brexit (2 pages, PDF)