Si les frontières politiques ont trop souvent été abusées pour restreindre l¹interaction légitime entre les êtres humains et le sont encore en partie, il s’avère qu’elles peuvent constituer un instrument vital de protection de la liberté par une diversité fiscale et légale admettant les choix et les possibilités de comparaison et donc l’option de « voter avec les pieds ».
Elles peuvent également, comme dans le cas de la Suisse, contribuer à sécuriser efficacement la propriété des résidants d’une juridiction prospère en filtrant dans des proportions raisonnables son entrée, sans conserver de registres sur les identités ou les mouvements dans le respect de la sphère privée.
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Frontières et liberté : vraiment opposées ? (5 pages, PDF)